Dolores : Hey la crevette ! Fais tes devoirs et va à la escuela.
Angel : Oui Dolores...
Dolores : Et c'est pas la peine de me parler sur ce ton. Tu ne finiras pas tout ça plus rapidement.
Un rire maléfique s'échappa des lèvres de Dolores qui se délectait des souffrances de sa cadette.
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Il faut dire qu'elle avait choisi le bon moment pour l'embêter, la tirant de son jardinage pour lui rappeler qu'elle serait privée de sortie demain si elle revenait encore avec un B de l'école.
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Le sang d'Angel bouillonnait de colère. Ce week-end, elle serait majeure et Dolores n'aura plus jamais son mot à dire sur ses activités, ses fréquentations et sa bienveillance. Elle allait quitter cet endroit une bonne fois pour toutes et s'installer à Newcrest. Gabriella arrivera bien à convaincre sa tante de l'héberger quelques temps.
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Pendant ce temps, Dolores en avait assez de cette perpétuelle déprime. Dans cet état, elle n'arriverait jamais à être convaincante et sa grossesse ne l'aidait pas car tous les bars allaient la renvoyer chez elle. Quelle idée d'avoir oublié de prendre ses précautions avec Geoffrey ? Elle le payait comptant et il était probablement très content de lui dans l'au-delà.
Fichus Plénozas !
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Mais les esprits du mal semblaient être du côté de Dolores aujourd'hui : Théo Masson, un de ceux libérés par Angel, avait été assez stupide pour revenir. Cette fois-ci, elle ne laissera personne l'entraver.
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Antonio réceptionna cette livraison, essentiellement parce qu'il n'avait rien de mieux à faire...
Théo : Comment va Dolores ? J'ai entendu dire que son mari était décédé ?
Antonio : Mi hermana es so triste... Su esposo lui manqué mucho.
Théo : Heu... Vous pouvez répéter ?
L'accent très prononcé d'Antonio ne l'aidait parfois pas quand il tentait d'avoir des relations amicales avec quelqu'un. Ca attirait les femmes mais les hommes avaient l'impression qu'il parlait chinois....
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Dolores : Antonio, retourne à l'intérieur.
Antonio : Si Dolores...
Ne pas insister face à Dolores. elle était visiblement de mauvaise humeur et il ne tenait pas à être à nouveau puni. Dolores, n'ayant pas de difficultés à se faire comprendre, parvint à jouer la carte de la pitié, faisant que Théo s'attrista du sort de cette jeune veuve qui allait se retrouver mère célibataire. Elle lui demanda de venir la consoler...
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... et l'attira jusqu'au bassin dont elle s'empressa de fermer l'accès. Ne restait plus qu'à être patiente mais comme Dolores comptait rester ici jusqu'à avoir retrouvé pleine possession de son corps, ça ne poserait aucun problème.
Cependant, Antonio avait un souci : Alexandra était sa dernière victime potentielle en stock. Dolores en avait conscience et elle allait probablement devoir l'aider à prospecter.
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Angel était très contente : Elle était revenue du lycée avec un A ! Elle allait pouvoir négocier avec Dolores pour fêter son anniversaire avec ses amis. Ensuite, elle fera probablement sa valise et quittera le foyer une fois qu'elle aura trouvé un travail.
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A contrario, Antonio était dans un grand état de détresse : il n'y avait plus une seule femme dans la tranche d'âge qu'il voulait. Il les avaient toutes tuées...
Antonio : MAIS OU ETES-VOUS MI CARIÑOS !!!!
... Pour aider Antonio, envoyez donc "Grand-mère" au 13666 par sms (5000 simflouzs le sms) afin de financer la construction prochaine d'une maison de retraite réservée aux femmes d'au moins soixante ans. Autrement, vous pouvez toujours lui donner le numéro perso de votre grand-mère/arrière grand-mère/vieille folle qui vit en face de chez vous et qui vous colle des coups de canne dès que vous passez à moins d'un mètre d'elle.
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Dans la nuit, Dolores alla se traîner jusqu'au bassin pour voir où en était Théo. Elle venait d'attaquer son troisième trimestre de grossesse et sa taille de guêpe lui manquait cruellement. Quand elle se regardait dans le miroir, elle avait l'impression d'avoir avalé un ballon de baudruche.
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Antonio avait décidé d'aller sur Copains d'antan pour essayer de se trouver une copine bien ridée mais, manque de chance, elles étaient devenues une espèce en voie d'extinction... Mais mince ! Il devait bien en rester une non ?